Catherine Painvin

Comptoir Saint Hilaire

En 2005, Catherine est appelée en urgence par Monsieur George pour transformer sa bergerie du 18éme siècle de 900 m2 en maison d’hôtes d’exception de 11 chambres à l’image du comptoir d’Aubrac.

Aidée de son fils Nicolas, d’Emma sa femme, et de quatre amis Mongols, Catherine réalise là une œuvre hors normes où la chambre Sable préfère les bougies à l’électricité et où tous les lits, tables, canapés, bibliothèques, baldaquins et terrasses sont fabriqués sur place. Ce travail réalisé en deux mois fut mené dans la compulsion frénétique la plus totale sans respiration, pour y faire cohabiter 1550 miroirs 120 chandeliers, 300 photophores, 5500 planches de bois bruts, 700 pierres et pavés, 2 tonnes de sable, 1700m de taffetas, 200 rideaux-draps écrus, 150 tapis aux couleurs des chambres et les services à petit-déjeuner des hôtes en porcelaine multicolore.